Nichée entre ciel et sol, cette maison s’organise par strates, au fil des niveaux et des terrasses qui épousent le relief. Elle n’est pas construite autour de l’arbre, mais avec lui : il la traverse, la relie, l’inspire.

On y grimpe jusqu’à une chambre d’amis perchée, suspendue dans les branches — comme un refuge secret. Plus bas, l’espace de vie s’élève dans un volume majestueux, aux proportions empruntées aux plans de cathédrales, invitant la lumière à entrer par de grandes ouvertures. Plus intime, la chambre principale s’ouvre sur un paysage calme, offrant une vue dégagée et apaisante.

Cette maison est une promenade verticale, un dialogue entre architecture et nature, entre ancrage et élévation.